" Il y a un fil conducteur dans tout mon travail : l'angoisse, le plaisir, la solitude, le rêve. C'est ce que je ressens dans cette société qui finalement nous rend malades. C'est en tant qu'artiste, avec ma musique, que j'essaie de me libérer "
Un film assez captivant. Difficile de ne pas prendre son pied en le regardant. Pour résumer, ce film se passe au Quebec et nous fait vivre pendant une heure le désastre qu’engendre la Purge. Qu’est ce que la Purge ? Elle correspond à une nuit par an, où tous les habitants de la ville ont le droit de se tuer entre eux pour se libérer de la haine, qui les envahit durant toute une année. Une nuit assez sanglante! C’est original pour une fois, de regarder un film qui nous apporte du suspens, et non un film qui nous dit à l’avance ce qui va se passer par la suite. Toutes les comédies qu’on a l’habitude de voir, ou les films romantiques se ressemblent. Ce film là est totalement une exception. Rien qu’au début du film, les personnages principaux comment à parler de cette fameuse nuit, où ils comptent bien se protéger de ce massacre. On ne s’attends réellement pas à ressentir durant tout le film,la peur que les personnages dégagent en essayant de se cacher et fuir à la mort.
J’ai eu la chance de pouvoir aller découvrir cet artiste, qui en réalité m’était totalement inconnu au niveau musical. Bien évidemment, son nom de scène m’était familier, mais je n’avais aucune idée de ce que j’allais voir. Avant d'aller au concert, j'ai tout de même eu la curiosité d'aller écouter ce qu'il faisait et d'en savoir u peu plus sur lui. En allant faire quelques petites recherches sur qui il était, j'ai pu voir qu'il avait eu un accident, qui a fait qu'il s'est donné ce nom de scène de " Grand Corps Malade ". En écoutant certains morceaux au hasard sur Youtube, j'ai été assez surprise de voir qu'il slamait. Et c'est là que je découvrit qu'il avait contribué à populariser le Slam en France. N'étant jamais allée à un concert de Slam, je n'avais qu'une hâte, m'y rendre, et voir ce qu'il nous réservait ! Nous sommes donc allées ce soir là, toutes les trois, Justine, Sybille, et moi à ce concert qui duera environ deux heures et demi. La salle était remplie, et le public de tout âge. L’artiste arriva sur scène avec une béquille à la main droite, accompagné de son batteur, de sa pianiste/chanteuse, et de son guitariste. C’était assez incroyable. Il fut son entrée de manière totalement inattendue en commençant à slamer. Ses paroles étaient merveilleusement bien travaillées, les rimes étaient parfaitement dans le rythme de la batterie, et sa présence scénique était déjà importante et imposante dès le premier morceau. Avant chaque début de morceau, il prenait son micro et s’avançait près du public, vers nous. Il nous disait dans quel contexte, et pourquoi il avait écrit ce morceau. C’est tellement rare aujourd’hui de voir des artistes se confier à son public de cette manière. Chaque chanson correspondait à un moment important de sa vie qu’il avait vécu. Il nous fit partager à travers ces textes, ces sentiments, face à certains moments de sa vie, en nous parlant de lui, ou de sa famille. Nous eûmes même droit à un magnifique morceau en l’hommage à Charlie Hebdo. Il y eu également au milieu du concert un invité spécial, qui fit un duo slam , chanson avec un certain MICHEL GONDRY... Cette chanson fut assez touchante, entre la voix impressionnante de michel et Grand corps Malade. Grâce au rifts de la guitare électrique, les arpèges au piano et la batterie en rythme, sans oublier le jeu de lumière scénique, ce fut un vrai show! J’ai trouvé ça intéressant de voir à quoi ressembler le slam en musique. Je n’avais jamais écouté de Slam jusqu’ici , mais en tant qu’artiste, et chanteuse, j’ai trouvé cela original et super, de voir comment on pouvait raconter ses histoires à travers le slam seulement en parlant et en ayant simplement un son musical derrière. Les filles m’incitèrent à y aller, et je suis bien contente d’y avoir assisté.
J’ai pu organiser à l’université une Masterclass , avec un grand saxophoniste Américain nommé Sulaiman Hakim. Sulaiman était le saxophoniste de Luther Allison. Un grand chanteur de blues! Ce fit pour moi, un premier début dans mon futur métier. Par le plus grand des hasard, je tombais un jour sur un site réservé aux programmations de concerts sur Paris, et regardais par curiosité les artistes listés. Sulaiman Hakim m’intrigua et sa biographie me plût aussitôt! Je fis toute la démarche nécessaire pour le contacter, et voilà que deux heures après, je fis au téléphone avec lui pour lui proposer de se rendre à la fac pour une petite séance d’apprentissage Jazz…Je ressentis un plaisir intense à contacter un artiste qui fit le tour du monde, et qui atteignit ses objectifs musicaux.
Dans l’objectif de faire découvrir aux étudiants un nouveau style de musique, qui est le Jazz and the Blues, la Masterclass fut une belle occasion pour faire de l’improvisation dans ce style là. Nous prîmes le temps d’installer en fonction de la sonorisation de la salle, tous les instruments, les microphones, et bien évidemment les caméras. Notre artiste arriva en début d’après-midi, et commença en beauté la séance par une lecture de rythme. Pour une élève comme moi, qui a du mal dans ce type d’exercices, je trouvais ça très intéressant. D’après lui, la lecture de rythme est indispensable pour commencer à comprendre le blues et le jazz. Par la suite, nous commençâmes un morceau « Route 66 » qui fut un vrai plaisir à jouer. Tout l’orchestre était synchronisé, malgré les différences de niveaux. Nous étions quatre élèves à chanter, dont moi. Sulaiman nous demanda de chanter des morceaux qui m’étaient pratiquement inconnus, mais je réussis tout de même à les apprendre en étant accompagnée de l’orchestre. En effet, on eu la chance d’avoir un orchestre assez complet et assez performant. Il y avait cependant, beaucoup de guitares, mais ce fit tout de même l’affaire. Nous avions quatre chanteurs, deux saxophonistes dont Sulaiman,une flûte traversière, trois pianistes, une basse et sept guitaristes! Le son des instruments étaient assez bon, et les morceaux rendaient assez bien. Nous jouâmes durant trois heures en ne faisait qu’une pause de dix minutes seulement. Ce fut un moment assez fort et intéressant à vivre entre l’artiste et nous, les étudiants. La fac ne proposant pas beaucoup de pratiques musicales, cette Masterclass me permit de découvrir, que certaines personnes étaient musiciens, sans forcément l’avoir dit auparavant. J’ai pu sentir une ambiance assez détendue, et joyeuse, en voyant tous les élèves à fond dans le moment présent. C’est exactement ce qu’on attends des artistes avec qui on à l’occasion de jouer. S’accorder musicalement, en prenant le plus grand des plaisirs. L’approche que l’on peut ressentir entre musiciens est importante dans le monde de la musique. Surtout lorsqu’on a l’occasion de rencontrer des artistes ayant de l’expérience.
Cela peut paraître assez étrange d’avoir l’impression de vivre ce que l’on voit, à travers un film. Surtout quand ce film vous présente des personnages dans une situation qui n’est pas la vôtre. Mais pourtant, dans celui-ci, on a tout pour le vivre du début à la fin. Ce film qui reste assez romantique, raconte l’histoire d’un jeune homme et d’une jeune femme malade, atteints du cancer. Ils tombent amoureux et vivent leur amour, malgré leur maladie. En regardant ce film, je me suis rendue compte, qu'une personne qui n'est pas malade ne pouvait pas ressentir cette peur. Cette peur depersonne ne pouvaient vraiment sce que c’était de sentir qu’on pouvaient y rester, à tout moment. La mort s’approche de plus en plus, mais ils continuent de vivre, et de voyager. Les plus beaux moments du film, sont ces moments là : Où ce jeune couple si amoureux, gardent le sourire, le moral, quoi qu’il advienne chaque jour qui passe. C’est assez impressionnant et flippant en même temps. La maladie est en réalité la pire chose qui puisse arriver. Les problèmes de famille, d’argent, peu importe, ce n’est rien à côté. Lutter contre une maladie, comme j’ai pu le voir dans ce film est la chose la plus difficile qui puissent nous arriver en tant qu’être humain. En particulier quand on a seulement dix huit ans. La vie commence à peine, et ce n’est que le début.
Un ressenti particulier m’a traversé l’esprit au moment où j’ai pu entendre cette chanson à la Radio. Cette artiste que j’admire depuis un moment pour ses compositions, a écrit une chanson nommé RED. Cette chanson m’a totalement donné l’inspiration et encore plus de motivation à réussir dans ma passion. Etant également dans la composition, le chant et la musique, j’ai presque l’impression de m’identifier à elle en l’écoutant. Dans sa manière de ressentir les choses en tant que jeune fille, on s’identifie instantanément à ce qu’elle peut raconter. Les histoires d’amour, les ruptures, la famille, les garçons… L’air de cette fameuse chanson accroche direct. Les premières notes de la guitare classique nous oblige presque à continuer le morceau jusqu’à la fin. Le fait d’écouter cette chanson en boucle, me donne l’envie de persister et de tout faire pour réussir dans ce monde musical si dur à atteindre. Cette chanson là m'a totalement envoûtée, et malgré le nombre de fois que j'ai pu l'entendre, je ne m'en lasse pas.
Pour les nombreuses fois où je les ai seulement vu répéter en studio, j'ai totalement été scotché. En effet, je suis allé voir le Samedi 22 Novembre 2014 le groupe de mon frère : " Spirit System ". Un groupe assez Hard Rock. Son répertoire tourne autour de Led Zeppelin, AC/CD, Scorpions et de tous les plus grands. Ils ont joué ce soir là, dans une salle située dans les quartiers sympas de Marseille. Cette salle appelée le " DAN RACING " est une salle qui accueille les jeunes groupes qui débutent dans le milieu musical. Mon frère, Alexandre Colon, a crée ce groupe en 2013 dans l'objectif de faire des concerts pour son plus grand plaisir, qui est la musique. Pour un petit groupe de quatres musiciens, avec un batteur, un bassiste, un pianiste et un guitariste, cela fonctionne assez bien. Ils ont passé un an à répéter des reprises Rock et à composer trois chansons. Et ce jour là est enfin arrivé, ils se sont enfin produit sur scène! Il y a avait tous nos amis du lycée, et des adultes qui venaient seulement boire une bière en écoutant les groupes passer. C'est à 21H que le concert commença.
La salle s'éteigna subitement, et les lumières de couleur rouge et verte éclairèrent la scène. Le groupe entra en scène et les premières notes de la guitare éléctrique d'Alexandre se font entendre. Une magistrale rythmique bien maîtrisée, et un chant loin des standards du Hard Rock. Dès que le chanteur envoya la première note de " Ain't no Sunshine '' , j'en eu des frissons. Malgré quelque problèmes technique au niveau de la régie, le public se mit à taper des mains, et les sourires ne manquaient pas. On sentait une ambiance totalement folle et déjantée, une vraie ambiance Rock'n Roll ! Les musiciens ont été à fond tout le long du concert. Le fait de voir mon frère sur scène ,en mettant toute son énergie dans ce qu'il jouait est fabuleux.